de la récupération
du papier
du plastique
de la création et de l’imagination
des pièces uniques
faites main bien sûr !
Des sacs,
des pochettes,
des porte-monnaie,
des étuis…
en papier !
Les pages de magazines se transforment en objets uniques et chic.
L’atelier d’Alain Ponçon est situé dans un petit village sur les bords du Loir à Saint Maur (28) où il vit. La proximité avec la nature est primordiale pour son inspiration.
Cet artiste exprime avec tendresse des sentiments à travers des personnages réduits à des formes élémentaires. Sa technique est libre. Son regard est parfois décalé, ironique, souvent empreint de poésie. La solitude et la fragilité sont des thèmes familiers. L’aspect faussement naïf, très coloré, donne la chaleur trop souvent absente dans une société manquant d’humanité. Si la toile de lin est son support habituel, il aime réinvestir des objets destinés à la déchetterie en œuvres d’Art.
Alain Ponçon possède une écriture bien personnelle. Il construit toile après toile un univers attachant et singulier.
Artiste à facettes, il joue avec les ambiguïtés, les passages en va-et-vient entre l’imaginaire et la réalité. C’est le regard décalé d’un équilibriste qui suscite l’émotion.
Avec une écriture poétique, des couleurs vives et le sourire, il construit un univers bien personnel et attachant.
Frédérique Charpentier s’intéresse depuis l’âge de 15 ans à la photographie, au cadrage. Après une licence d’études cinématographiques et audiovisuelles à Paris 8, elle part à New-york avec sa caméra vidéo et revient avec un agrandisseur ! Suivent alors les années argentiques liées à ses voyages dans les capitales européennes et aux portraits en noir et blanc.
Parallèlement, comédienne et metteur en scène, son métier lui permet de faire des ponts entre la mise en espace scénique et la composition photographique. Elle aime composer ses cadrages directement à la prise de vue, attendre le mouvement, le positionnement précis d’un élément ou d’un être vivant.
L’humain et la ville sont ses deux principaux axes de travail comme les mères et l’allaitement, les vides greniers et ses protagonistes, les vélos en ville, les sols parisiens… C’est avec ce dernier thème qu’elle développe une recherche plus abstraite. Un travail autour de la matière bitume et comment la nature reprend ses droits. Craquements, fissures, interstices forment de véritables tableaux.
Dans notre monde où les objets n’ont qu’une seule vie, la démarche de +brauer est de leur inventer une nouvelle existence en les détournant de leur première fonction. Il s’intéresse à la forme, mais aussi à la lumière et à l’ombre qu’elle implique.
Il aime particulièrement l’aspect robuste et pérenne de l’acier et des matériaux industriels qui ont vécu, marqués par la patine. Associés les uns aux autres, ils reprennent vie dans des œuvres uniques où chaque pièce peut raconter sa propre histoire…
L’atelier d’Alain Ponçon est situé dans un petit village sur les bords du Loir à Saint Maur (28) où il vit. La proximité avec la nature est primordiale pour son inspiration.
Cet artiste exprime avec tendresse des sentiments à travers des personnages réduits à des formes élémentaires. Sa technique est libre. Son regard est parfois décalé, ironique, souvent empreint de poésie. La solitude et la fragilité sont des thèmes familiers. L’aspect faussement naïf, très coloré, donne la chaleur trop souvent absente dans une société manquant d’humanité. Si la toile de lin est son support habituel, il aime réinvestir des objets destinés à la déchetterie en œuvres d’Art.
Alain Ponçon possède une écriture bien personnelle. Il construit toile après toile un univers attachant et singulier.
Artiste à facettes, il joue avec les ambiguïtés, les passages en va-et-vient entre l’imaginaire et la réalité. C’est le regard décalé d’un équilibriste qui suscite l’émotion.
Avec une écriture poétique, des couleurs vives et le sourire, il construit un univers bien personnel et attachant.
Dès l’âge de huit ans, Malvina a été à l’Ecole des enfants du spectacle à Paris : école à mi-temps et le reste du temps consacré à des cours artistiques. Elle a tout d’abord été danseuse puis comédienne, mais a peint et exposé par intermittence jusqu’en 2005 où, suite à sa rencontre avec Philippe Ménard et Jacques Laroussinie, Elle est « tombée en amour avec la terre » et c’est tout naturellement qu’elle est devenue céramiste. Tout deux lui ont transmis leur savoir et leur passion des cuissons de grés cuit au feu de bois à 1300°.
Son travail que ce soit en peinture ou en sculpture est souvent tourné vers les êtres et les visages qui s’imposent à elle avec force et douceur mêlée. La matière est un support primordial à ma créativité, Elle puise son inspiration dans le bois, les papiers structurés, la terre ; le tout accompagné de techniques mixtes où huiles, acryliques, pastelles, feutres, encres, sables etc… servent ses recherches de textures, d’oppositions… grès engobé ou émaillé le plus souvent cuit au feu de bois, parfois recuit au gaz selon l’effet recherché … l’exploration est sans fin, impérieuse.
Malvina Germain
06 09 67 85 48
malvina@flyingbaobab.com
www.flyingbaobab.com
Voici la vidéo qui a été faite le mercredi 12 Décembre 2012 lors de l’expo Beau éthique au viaduc des arts.
Avec Mélanie comme animatrice et les enfants…
Mélanie Poinsignon est artiste plasticienne. Jeux de mots, traductions impossibles ou lapsus
terribles, les rouages du langage constituent son sujet de prédilection.
Elle intervient régulièrement dans le cadre d’ateliers destinés aux enfants.
Atelier Recyclage de mots le mercredi 12 Décembre au Viaduc des arts
Comment recycler les mots dont on n’a plus l’usage ?
Il suffit de les anagrammer pour créer de nouveaux mots, tout neufs et prêts à l’usage.
Pour filmer les métamorphoses des mots, rien de tel que le cinéma d’animation : filmées image
par image, les lettres s’animent, se dispersent, se promènent, se mêlent et s’emmêlent pour composer
de nouveaux mots – 100% recyclés !
Tranche d’âge : 7 – 14 ans
Durée de l’atelier : 2 heures
http://www.melaniepoinsignon.fr
Photographies Fine Art numérotées et limitées
Christophe Cotichelli est un photographe amoureux des paysages, des animaux et de la nature en général. Tous ces sujets ont imprimé durablement son esprit et le capteur de son appareil photographique par leur beauté insoupçonnée et mystérieuse.
Pour lui la photographie est un moyen universel de partager des émotions. Et c’est un moyen de donner du sens. C’est aussi une occasion de rencontres, de passions, de fantasmes… Cette occasion, cette passion, il souhaite les partager avec vous…
Professeur d’arts plastiques depuis 1991 à la ville de Paris, c’est en récupérant un petit morceau de bois découpé et abandonné à terre par un élève que lui est venue l’idée d’utiliser cet objet de rebut comme support pour son expression artistique.
C’est ainsi que depuis quelques années, elle récupère des planches de bois, y trace des ondulations, découpe à la scie et peint ensuite des visages de profil superposés dans l’esprit de totems contemporains symbolisants la communication et les rapports humains.
Certaines pièces sont recto-verso, comme des sculptures avec un socle fait de chutes d’encadrement, ou de bois flotté.
Contact :
ariellebault@yahoo.fr